Catégorie : Santé

22 février 2021 0

LES DIFFERENTES MANIERES DE CONSOMMER DU CBD

Par experts
Le CBD (cannabidiol), ce cannabis rendu légal en raison de ses vertus thérapeutiques et du fait qu’il ne génère pas d’effet planant, se consomme de différentes manières. Découvrez-en quelques-unes ici puisqu’il peut être disponible sous forme de fleurs, de résine, d’huile, de cristaux, d’infusion, de crème, de gélule ou encore de e-liquide.

Cuisiner le cannabidiol

Au lieu de fumer le CBD, vous pouvez en effet le cuisiner pour le déguster. Pour être consommable par voie digestive et livrer les effets qui sont attendus de lui, le cannabidiol doit être décarboxylé, c’est-à-dire chauffé sous certaines conditions de température et de durée. Il libérera alors ses cannabinoïdes. Mettez des fleurs ou des feuilles de cannabis grossièrement hachées sur un papier sulfurisé dans une four pré-chauffé entre 100° et 120° et laissez chauffer 45 minutes. Ces température et durée permettent de libérer progressivement le cannabinoïde sans le brûler. Le produit ainsi obtenu peut être utilisé dans une recette de gâteau ou d’empanada ou dans du lait par exemple. L’autre manière d’extraire les cannabinoïdes pour dégustation, c’est d’infuser le cannabis dans un liquide gras.

Inhaler du cannabis

Si on peut vapoter le cannabis en achetant le e-liquide de vapotage correspondant, il est aussi possible d’acquérir du CBD par l’achat sous forme de fleurs ou de cristaux dont vous allez extraire les cannabinoïdes par vaporisation dans le but de les inhaler. Vaporisez le cannabidiol à l’aide d’un simple vaporisateur portatif pour herbes naturelles, mais pour tirer tout le bénéfice de la vaporisation, il s’agit respecter les points d’ébullition des différents cannabinoïdes dans le CBD. La température d’ébullition est de 157° pour le THC (tétrahydrocannabinol) et entre 160° et 180° pour le CBD (cannabidiol), ces deux types de cannabinoïdes étant ceux qui produisent les effets que les consommateurs cherchent à ressentir. Il est important de signaler qu’il ne faut pas fumer directement le CBD.

La technique sublinguale

Outre le fait que le cannabidiol s’ingère en étant mélangé avec une matière grasse comme le beurre, il peut être directement consommé par voie buccale lorsqu’il est présenté sous forme de CBD intégré dans de l’huile. L’huile de CBD est à mettre directement en gouttes sous la langue, d’où la qualification de ce mode de consommation de sublingual. Les muqueuses buccales laissent passer les cannabinoïdes du CBD pour les permettre d’être absorbés directement par le corps et produire les effets convoités plus rapidement que si l’huile était avalée. La mise à disposition de l’huile de CBD pour achat sur le marché se fait dans des flacons avec différentes concentrations de CBD (entre 4% et 20%) et respectant les normes de l’UE. La clé de la satisfaction en préparant le cannabis en vue de sa consommation, c’est de libérer ses cannabinoïdes sans les brûler. A la lumière des informations qui viennent d’être livrées, vous pourrez soit vous concocter une recette à base de cannabis, soit vaporiser ses fleurs ou ses cristaux à la bonne température afin de les inhaler, soit ingérer directement son huile.
13 février 2021 0

LA POSE D’UN IMPLANT DENTAIRE EST-ELLE DOULOUREUSE

Par experts
La hantise des patients de la stomatologie, c’est la douleur pendant l’intervention. Aussi est-on en droit de demander si la mise en place d’un implant dentaire qui se fait certes sur une zone déjà dévitalisée est douloureuse étant donné qu’elle touche aux gencives et à l’os.

Anesthésie pour la pose d’un implant dentaire

Révolue est l’époque où le patient avait le choix entre être anesthésié et supporter la douleur d’un traitement stomatologique extrême. L’anesthésie systématique est aujourd’hui la règle en chirurgie dentaire. Elle s’impose puisqu’en voulant atteindre l’os mandibulaire ou maxillaire, l’intervention d’implantation dentaire passe par le périoste qui, contrairement à l’os, est innervé. D’ailleurs, elle traverse les gencives avant. L’injection de lidocaïne assure le caractère indolore de la pose d’un implant dentaire tout au long de sa durée. Le chirurgien-dentiste accepte même la demande d’un patient qui désire subir une anesthésie générale pour peu que ce dernier soit prêt à en supporter le coût. Dans ce cas, l’intervention d’un médecin anesthésiste sera sollicitée par le médecin dentiste.

Des cas particuliers d’implantation

Il est des cas où la greffe osseuse s’impose puisque l’os d’accueil serait trop fin pour supporter efficacement l’implant. Cela arrive notamment pour les dents rattachées aux sinus maxillaires ou tout simplement parce que le patient, âgé, aura perdu beaucoup de sa densité osseuse. Dans un tel cas, le chirurgien-dentiste sera amené à procéder soit à la greffe osseuse, soit à l’élévation du sinus par comblement avant la pose d’un implant dentaire. Cette intervention touche à plus de nerfs et nécessite donc plus d’anesthésiant. Dans tous les cas, comme l’effet du produit anesthésiant s’estompe peu à peu pour finir par disparaître, des antidouleurs seront prescrits par le médecin dentiste, mais aussi des analgésiques et des anti-inflammatoires pour les cas où les gencives sont plus travaillées.

La gestion des gênes post intervention

Quelle que soit la douleur ressentie après la dissipation des effets de l’anesthésie, elle est de loin inférieure à celle d’une extraction dentaire. Néanmoins, l’inflammation de la gencive va faire gonfler cette dernière mais pas durablement quand même. Pour ce qui est la cicatrisation des zones d’incision, la douleur se gère avec les antalgiques ordinaires. Pour la plupart des cas lorsqu’il s’agit des dents de devant, il est nécessaire de mettre en place une prothèse provisoire après la pose de l’implant puisque la fixation de la couronne prothétique devra attendre la consolidation de l’os autour de la racine artificielle. Autrement, le patient peut juste patienter un peu avec une édentation qui vit ses derniers jours, au pire, ses dernières semaines. Même si on ne pourra jamais dire que le processus d’implantation dentaire est totalement indolore, on peut dire que la douleur ressentie pendant et après les interventions sont bien moindres que pour l’extraction dentaire. En tout cas, les avantages de l’implant par rapport aux autres solutions de comblement valent la peine de supporter quelques gênes passagers.
26 janvier 2021 0

Les 4 solutions naturelles pour faire baisser sa tension

Par experts

L’hypertension peut avoir des graves conséquences sur la santé en générale. Dès que le diagnostic est posé, le patient doit suivre un traitement adapté pour limiter les risques. A part les traitements médicamenteux qui s’avèrent incontournables, il existe plusieurs solutions naturelles permettant de faire baisser l’hypertension.

Recourir aux massages pour lutter contre l’hypertension

Le massage est toujours utile chez les personnes qui souffrent d’une hypertension artérielle. Cela concerne particulièrement le massage du dos, de la nuque et du crâne. Toutefois, la manipulation de ces zones nécessite beaucoup de précautions. Pour le massage de la nuque, par exemple, les mouvements doivent se faire de haut vers le bas. C’est un élément important à prendre en considération afin de réduire la pression sanguine dans la tête. En ce qui concerne le massage du crâne, les gestes doivent se faire en douceur. Pou faire baisser la tension avec le massage et profiter de tous ses bienfaits, il vaut mieux faire confiance à un salon de massage réputé comme Newave Institut. Cet institut de massage parisien garantit un soin de qualité dans un cadre apaisant, invitant à la détente. Lire la suite

14 janvier 2021 0

LE PRIX ET LES AIDES FINANCIERES POUR LES APPAREILS AUDITIFS

Par experts
Ne désespérez pas si vous êtes un malentendant et que l’on vous dise que le coût d’une aide auditive se situe autour entre 1000 € et 2000 €. Votre situation vous permettra peut-être de prétendre à une aide financière liée à votre handicap. Voici un tour d’horizon sur les aides financières auxquelles peuvent prétendre les candidats au port d’appareils auditifs.

Des aides basées sur la situation de handicap

Pour l’AGEFIPH (Association de Gestion des Fonds pour l’Insertion des Personnes Handicapées) et la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées), un malentendant est à soutenir par une aide financière parce qu’il est victime d’un handicap pouvant portant préjudice à sa propre personne et possiblement à l’entourage au sein duquel il vit et est actif. L’AGEFIPH réserve son aide aux salariés du privé, aux artisans, aux commerciaux et aux travailleurs de la profession libérale. Cette aide s’élève à 50 % de la facture du patient avec un plafond de 700 € par prothèse auditive. La MDPH quant à elle destine son aide aux handicapés auditifs âgés entre 20 et 75 ans et reconnus gravement entravés dans les actes essentiels de la vie.

Des aides basées sur le statut de citoyen actif

Des efforts sont réalisés par l’Etat pour permettre aux personnes handicapées de vivre en tant que citoyens actifs travaillant dans la Fonction Publique ou autre. Aux personnes victimes de perte auditive, il fournit des aides financières pour qu’elles puissent être acceptées et recrutées par les entreprises et vivre de leur travail. Auprès de l’OETH (Obligation d’Emploi des Travailleurs Handicapés), un malentendant peut demander une prise en charge jusqu’à 800 € par prothèse en complément des aides tierces. De la part du FIPHFP (Fonds pour l’Insertion des Personnes Handicapées dans la Fonction Publique), un fonctionnaire pourrait jouir d’un financement allant jusqu’à 1600 € sur 3 ans. Pour bénéficier de l’aide qui lui correspond, le patient doit fournir un bilan et un devis délivrés par un audioprothésiste attesté comme Décibel Lunettes Audition qui est un spécialiste de l’appareil auditif à Valence, dans la Drôme.

D’autres types d’aides

Déjà avant 2019, l’Assurance maladie incluait la prise en charge d’une partie du prix de l’appareil auditif et cela s’est encore amélioré en 2019 avec l’arrivée de la Réforme 100 % santé. Avec l’augmentation de la base de remboursement de la sécurité sociale à 350 €, le remboursement pour une prothèse auditive s’élève à 210 € et donc le double pour les deux oreilles. Cela vient s’ajouter à la prise en charge partielle des frais d’appareillage auditif faite par les complémentaires santé. Vous connaîtrez le niveau de la prise en charge en vous informant auprès de votre mutuelle santé. En ce qui concerne les retraités sans CMU, il faut voir ce que l’assurance maladie peut offrir comme allocation supplémentaire en lui adressant une demande. Pour l’enfant, il faut se renseigner auprès de la MDPH ou de la DDASS. Figurant dans la Liste des Produits et Prestations (LPP) de la sécurité sociale, l’appareillage auditif bénéficient d’un remboursement. Le type d’aide pouvant être obtenu dépend de la situation socio-professionnelle du malentendant. La démarche consiste à obtenir un devis de la part d’un audioprothésiste attesté puis faire une demande.
5 janvier 2021 0

INFECTION NOSOCOMIALE ET INDEMNISATION

Par experts
Quelle réparation pourrait-on obtenir si on attrapait une infection pendant un séjour de soin dans un établissement de santé ? Zoom dans cet article sur l’essentiel à savoir au sujet du cas de ce qui est médicalement appelé infection nosocomiale.

Quand une infection est-elle considérée comme nosocomiale ?

Une infection est dite nosocomiale lorsqu’elle s’attrape dans le cadre de la prise en charge d’une personne dans un établissement sanitaire. Il faut qu’il puisse être démontré par une expertise réglementaire que le patient ne l’avait pas déjà en incubation lors de son admission dans l’établissement, qu’elle y a été contractée puis s’y était développée au moins 48 heures après. De même, l’infection qui survient dans un délai de 30 jours après une opération ou d’un an après la pose d’une prothèse est classée nosocomiale. Ce genre d’infection est considéré comme un préjudice contractée en milieu médical et de ce fait ouvre droit à une indemnisation. C’est la loi Kouchner de 2002 qui prévoit le régime juridique d’indemnisation de la victime d’une infection nosocomiale.

Indemnisation de la victime d’une infection nosocomiale

Pour se faire indemniser, le patient ou ses proches doivent premièrement prendre possession du dossier médical puis saisir la Commission Régionale de Conciliation et d’Indemnisation (CRCI). En cas d’acceptation du dossier déposé, le requérant aura à présenter son recours financier. D’autre part, il est possible de faire appel à l’association Aide Victimes France (AiVF) afin de se faire assister gratuitement par un médecin expert ou un avocat pour savoir sil le cas se rapporte vraiment à une infection nosocomiale. L’avis de la CRCI (encore appelée CCI) orientera le recours du requérant après.

Le barême d’indemnisation

Le principe de l’indemnisation, c’est la réparation intégrale du préjudice. C’est donc l’importance de ce préjudice qui sera à bien définir et l’expert en estimation est incontournable car il aura aussi à évaluer la situation globale de la victime. Le préjudice en question concerne autant ce que la victime a déjà subi que ce qu’elle aura encore à subir dans l’avenir, comme par exemple un handicap à vie, et le lien doit pouvoir être démontré. Plusieurs critères, appelés postes de préjudices, entrent en jeu dans cette évaluation, y compris l’Aipp, l’indice professionnel, l’ITT et le Prétium doloris. L’indemnisation suite à un décès est évaluée sur la base de ce que l’expert établira comme préjudice moral et préjudice économique.

Conclusion

Avoir contracté une infection à la suite d’un acte médical, ça se démontre par une expertise. Quand le fait est avéré, la victime ou bien ses ayants droits si elle est décédée, ont droit à une indemnisation équivalente à la réparation du préjudice subi et qui pourrait éventuellement être encore subi ultérieurement.
22 octobre 2020 0

Gel hydroalcoolique : solution hygiénique pour vous protéger au quotidien

Par experts

Se laver régulièrement les mains constitue un geste barrière crucial à respecter, de nos jours, afin de se protéger au mieux contre le virus de la Covid-19. Mais lorsque vous vous trouvez à l’extérieur, vous n’avez normalement pas accès à de l’eau et à du savon. Un gel hydroalcoolique se révèle alors être pratique pour assurer votre protection, à ce moment-là. Mais quand et comment bien l’utiliser ? Quels sont les critères à considérer pour le choisir ? Ici, quelques éléments de réponses.   Lire la suite